La vie d’un écrivain est souvent jalonnée d’idées brillantes, de concepts passionnants et d’histoires captivantes. Mais parfois, ces idées ne se concrétisent jamais.
Les écrivains peuvent être victimes du syndrome de la « bonne » idée, où ils ont une idée géniale, mais ne s’avèrent pas à la transformer en quelque chose de concret.
Chez les entrepreneurs, cela est nommé le syndrome de l’objet brillant et se caractérise par une tendance à être constamment distrait par de nouvelles idées, projets ou opportunités, au détriment de la poursuite des activités et des projets actuels.
La question est : pourquoi cela se produit-il ? Pourquoi les écrivains ne peuvent-ils pas simplement prendre leur idée et la transformer en une histoire passionnante ?
Dans cet article de blog, nous allons explorer le syndrome de la « bonne » idée chez les écrivains et expliquer pourquoi écrire et publier est la seule façon de savoir si notre idée est vraiment bonne.
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Sommaire
Le syndrome de la "bonne" idée chez l'écrivain
Le syndrome de la « bonne » idée chez l’écrivain est un phénomène courant. Les écrivains ont souvent des idées extraordinaires, mais ils ne savent pas comment transformer en histoires.
En tant qu’écrivain, il n’est pas rare d’être confronté à des blocages créatifs, à la peur de l’échec ou à la conviction que vous n’êtes pas assez bon pour donner vie à vos idées.
Ces blocages peuvent être frustrants et démotivants, mais il est important de se rappeler qu’ils font naturellement partie du processus créatif.
L’une des causes courantes des blocages créatifs est le manque d’inspiration. Cela peut être causé par divers facteurs, comme le stress, la fatigue ou le simple fait de ne pas se sentir inspiré.
Pour lutter contre cela, il peut être utile de faire une pause et de faire quelque chose qui t’inspire, comme aller se promener, écouter de la musique ou lire un livre.
Un autre obstacle courant est la peur de l’échec. Cela peut être particulièrement difficile pour les écrivains, car le processus créatif implique de mettre ses idées et ses pensées à la disposition du monde pour que d’autres les jugent.
Pour surmonter cette peur, il peut être utile de te rappeler que l’échec fait naturellement partie du processus d’apprentissage.
Tous les écrivains à succès ont été confrontés au rejet et à l’échec à un moment ou à un autre, mais c’est la façon dont tu apprends et grandis à partir de ces expériences qui fait toute la différence.
Enfin, de nombreux écrivains luttent contre la croyance qu’ils ne sont pas assez bons ou qu’ils ne possèdent pas les compétences nécessaires pour écrire une histoire réussie.
Il peut s’agir d’une prophétie auto-réalisatrice, car plus tu doutes de toi, moins tu es susceptible de prendre des risques et d’essayer de nouvelles choses.
Pour y remédier, il est important de se concentrer sur tes points forts et de développer tes compétences par la pratique et l’étude.
N’oublie pas que chaque écrivain a commencé quelque part, et qu’avec du dévouement et de la persévérance, tu peux atteindre tes objectifs d’écriture.
Pourquoi écrire est la solution
La solution au syndrome de la « bonne » idée chez l’écrivain est d’écrire. L’écriture est l’une des façons les plus efficaces de donner vie à une idée.
En écrivant, les écrivains peuvent explorer leur idée plus en profondeur. Ils peuvent la décrire, l’analyser, la décomposer en parties plus petites et la réorganiser pour en faire quelque chose de plus concret.
L’écriture permet également aux écrivains de trier leurs pensées et de clarifier leurs idées.
Ils peuvent trouver des lacunes dans leur raisonnement ou des incohérences dans leur idée en écrivant. Ils peuvent également trouver des solutions à des problèmes qu’ils ne peuvent pas voir auparavant.
Pourquoi publier est la clé ?
Mais seul écrire ne suffit pas. Pour savoir si leur idée est vraiment bonne, les écrivains doivent la publier. La publication peut sembler effrayante, mais c’est la seule façon de recevoir une réponse honnête sur leur idée.
Les écrivains peuvent demander à des amis, des collègues ou même à des inconnus ce qu’ils pensent de leur idée. Ils peuvent également recevoir des commentaires et des critiques constructifs qui les propagent à améliorer leur idée.
La publication permet également aux écrivains de voir leur idée dans un contexte plus large. Ils peuvent voir comment leur idée s’intègre dans leur genre littéraire ou leur marché. Ils peuvent voir si leur idée est pertinente ou si elle est dépassée.
Conclusion : libérez vous du syndrome de la bonne idée
Je conclus cet article par cette magnifique citation de Paolo Coelho, qui s’inscrit dans la même veine de cet article : vous dire qu’il faut passer à l’action.
« La seule réalité que recouvre une idée : bonne ou mauvaise, elle n’existe que lorsqu’on essaie de la mettre en pratique. »
Tout ceci pour dire, que la seule façon de savoir que vous avez une bonne idée de livre c’est l’écrire et de la partager. Le syndrome de la « bonne » idée chez les écrivains peut être un obstacle à la création d’une histoire réussie.
Mais en écrivant et en publiant, les écrivains peuvent donner vie à leurs idées et découvrir si elles sont vraiment bonnes. Ils peuvent recevoir des commentaires constructifs et des critiques qui les envoient à améliorer leur idée.
Alors, n’ayez pas peur d’écrire et de publier. C’est la seule façon de savoir si votre idée est vraiment bonne.
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